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Paroles

ALBUM //

À L'ABRI DES CLIMATS

Up, Down

Je vis mes ups, je vis mes downs

Tout dépend de mes situations

Et je vais jusqu’au bout

De mes aventures.

 

Je crains le vide, à la pleine lune

Je suis somnambule, funambule

Au réveil, je recherche

L’ultime équilibre.

 

Je me balance dans le blues, dans le folk,

Dans le pop, le rock and roll

Où je romance, raconte toutes sortes d’histoires

Effleurant le jazz.

 

Je me promène, déménage

Plusieurs instruments dans mes bagages

Timide et curieux je me dévoile, enfin.

 

Je fais les choses différemment

Et j’aime prendre mon temps

Et je m’en « tabar’ », Hen! Hen! Hen! (3 fois)

Des esprits critiques.

 

Je vis mes ups, je vis mes downs

Et je fais presque tout

Je vis mes ups, je vis mes downs

Presque tout ce qui me plaît.

 

On n’a qu’une vie à vivre (bis)

Dans l’ivresse de nos folies.

 

Je rêve… je rêve… je rêve… je rêve… je rêve… (bis)

Hen! Hen! Hen! Hen!  Oh yeah! Un rêve de fou

On vit nos ups, on vit nos downs

On vit nos ups, on vit nos downs 

Et je fais presque tout

Presque tout ce qui me plaît.

 

Et je fais presque tout

Presque tout ce qui me plaît.

 

Ho! Ho!, Ho! Ho!

Paroles : Gilles Turcot

Aux moments magiques

Pourquoi remettre à demain

Ce qu’on peut faire maintenant

Ne pas attendre que l’argent nous tombe du ciel

Ne pas attendre un miracle

Il n’y a plus de temps à perdre

Pour partir en voyage

Sans portable, sans téléphone

Que quelques trucs dans ses bagages.

 

Quand le moment est magique

On aimerait le faire durer

Le plus longtemps qu’il faut

Le plaisir des moments magiques

Tant mieux s’il fait soleil et qu’il fait beau.

 

Pourquoi remettre à plus tard

Ce qu’on peut faire aujourd’hui

Aller dans un endroit pour être bien

Aller quelque part sans avis

Il n’y a plus de temps à perdre

Et ne plus compter les heures

Aller dans un hôtel 5 étoiles

Ou dans un chalet, aurore boréale.

 

Quand le moment est magique

On aimerait le faire durer

Le plus longtemps qu’il faut

Le plaisir des moments magiques

Tant mieux s’il fait soleil et qu’il fait beau.

 

Faut faire attention, attention, attention

A tous nos moments magiques

Pour ne pas les laisser tomber dans l’oubli

Pour ne pas les laisser sombrer dans l’éphémère.

 

Pourquoi remettre à demain

Ce qu’on peut faire maintenant.

Paroles : Gilles Turcot

Chez-nous

Chez nous, y’a du soleil qui transperce tout mon être, me réveille,

À toutes sortes d’heures, brasse mes humeurs, pour le meilleur.

 

Chez nous, y’a d’la musique qui m’trotte dans la tête, entre quatre murs

Je me laisse guider, vibrer par toutes sortes d’émotions, oh! dans mon phare d’évasion.

 

Ouais! mais chez nous je regarde le hockey à la télé

Et je mets pas de son, ça me dérange pas

Je compose et je prose mes chansons, pareil

Oh! Jamais pareil

Jamais pareil

Jamais pareil.

 

Chez nous, y manque une présence, des éclats de rire, des courbes,

Un joli corps de femme, intime dans nos paroles.

 

Chez nous, y a des artistes, des musiciens qui viennent faire un tour

Qui me disent être bien dans mon univers, ho! dans mon phare d’évasion.

 

Ouais! mais chez nous quand y’a pas de hockey

Je ferme la télé, ça m’dérange pas

Je compose et je prose mes chansons, pareil

Oh! Jamais pareil

Jamais pareil.

 

Y’as-tu du soleil chez vous?

Y’as-tu de la musique chez vous?

Y’as-tu de l’amour chez vous?

Y’as-tu des artistes chez vous?

Chez vous, c’est-tu comme chez nous?

Paroles : Gilles Turcot

À l’abri des climats

Eh! Dam! Eh! Dam! Dam! Dam! (bis)

 

Au milieu des forêts

Mon âme dérive

Pour trouver la paix

Et me permet de vivre en équilibre.

 

Marcher dans le sentier

Des confidences

La tête haute, vers le sommet

Les défis, la vérité m’attire.

 

Inukshuk!  Inukshuk!  Inukshuk!

Guide mes pas

Toujours fidèle et droit

Avec ton cœur de pierre, rassure-moi.

 

Me servant du passé

Pour rejoindre l’avenir

J’avance au gré des saisons

Où la liberté m’appelle, m’envahit.

 

La conscience me branche

Et je découvre

Un intérieur immense

Source de création

Habité d’une quête, d’une folie, d’une fougue

Poursuivre la trace de ma certitude.

 

Nous possédons tout en nous

Une attitude de solution

Envers le désordre

Contre la désolation.

 

Il suffit de vouloir, de croire

Il suffit d’être là

Quand vient l’instant

Quand vient l’espoir

Comprendre c’qu’il y a d’important.

 

Nos corps, nos rêves nous mènent à voyager

Où nous voulons

Avec tous ceux qu’on aime

Et ceux que nous aimerons

Partager l’harmonie, la vie et les passions

Poursuivre la trace de la certitude.

 

Ça sert à rien d’courir

Faut prendre ça comme ça vient

Ça sert à rien de fuir

Le désert de nos contraintes

Il faut simplement apprécier

Le calme et le silence, à l’abri des climats.

 

Ça sert à rien d’courir

Faut suivre le courant

Laisser filer tous nos tracas, tous nos problèmes

Dans le réconfort

Du calme et du silence

À l’abri des climats.

 

Hye! Hye! Hye! Hye! Hye! (bis)

Hye! Hye! Hye! Hye! Hye! (3 fois)

Paroles : Gilles Turcot et Jean Héroux

Ma Blonde, mon cœur

Nous sommes francs, sincères, sensibles

Quand on parle avec son cœur

J’aime tellement ta chaleur, ta beauté

Ma blonde, mon cœur

Sans connaître demain, vivre au présent

Pour se retrouver.

 

On se ressemble

Juste un simple regard, on se comprend

On devient grand et c’est bien

De ne pas en connaître la fin

Ma blonde, mon cœur, ho!___

 

Nous sommes habités d’une promesse d’espérance

Au fond de nos cœurs

On s’est promis de ne jamais trahir

Les élans de nos cœurs

Après avoir tant aimé

Dans l’absolu de l’éternité, pour aimer encore.

 

On se comprend

Nous sommes loin d’être parfaits, on se ressemble

On devient grand, oh! y’a rien d’acquis

Y’a rien de gagné d’avance

On se comprend

Nous sommes loin d’être parfaits, on se ressemble

Et si on se perd, on se consolera

De ne pas avoir trahi

Les élans de nos cœurs ho!___

 

Eh! Ho! Eh! Ho!

Ho! Ho! Ho! WOW! WOW! WOW! WOW! WOW!

Eh! Eh! Eh! Eh! Ho!

Paroles : Gilles Turcot

Souvent j'y pense

T’es-tu déjà questionné

Babe baby de ton côté

Si on avait fait

Un bout de chemin ensemble.

 

Un univers juste pour nous

Un nouveau chez-soi à notre image

Embellir les fêtes, du plaisir plein la tête

À s’en rendre fou.

 

Jamais, jamais, je ne me lasserai d’y songer, d’y croire

À tous ces jours, toutes ces nuits où tu me manquais

Souvent j’y pense.

 

Souvent, je me suis demandé

Ce qui aurait pu nous arriver

Si on avait réalisé

Des projets ensemble.

 

On aurait fait un jardin

Semé de tendresse, vibrant à nos aveux

S’apprivoiser l’un à l’autre

Défiant les chemins de traverse.

 

Jamais, jamais, je ne me lasserai d’y songer, d’y croire

À tous ces jours, toutes ces nuits où tu me manquais

Souvent j’y pense.

 

Oh! Oh! Oh!

 

Jamais, jamais, je ne me lasserai d’y songer, d’y croire

À tous ces jours, toutes ces nuits où tu me manquais

Souvent j’y pense.

 

Oh! Oh! Oh!

 

Jamais, jamais, je ne me lasserai de te désirer

À tous ces jours, toutes ces nuits où tu me manquais

Souvent j’y pense.

Paroles : Gilles Turcot

Aylan

Je ne connais point tous ces gens

C’est par une photo, un texte

Dans un journal, sur le web

Ça m’a pris droit au cœur.

 

Ils ont quitté la Syrie

Pour fuir la guerre

Ils ont tout laissé derrière eux

Ils cherchent de l’eau, du pain

Un endroit pour aller dormir.

 

Il y a l’autobus, il y a le train

Mais la plupart du temps, c’est à pied

Ils sont des milliers, des milliers, des milliers de gens

Qui marchent.

 

Il y a l’autobus, il y a le train

Mais la plupart du temps, c’est à pied

Ils sont des milliers, des milliers, des milliers

De gens qui marchent.

 

Soudain, une lumière jaillit dans leurs yeux

Une porte ouverte, accessible

L’espérance d’un nouveau départ.

 

Vous êtes des hommes, des femmes, des enfants

Attendus aux frontières

Vous avez le droit de sourire

Pour mieux imaginer.

 

Loin des bombes, un peuple, des origines

Oh! toutes ces racines, elles ne vous quitteront jamais

Elles seront, elles seront toujours là.

 

Loin des bombes, un peuple, des origines

Oh! toutes ces racines, elles ne vous quitteront jamais

Elles seront, elles seront toujours là.

 

Ce soir, je suis chez-moi

C’est l’orage, il pleut, sans électricité

Une chandelle, du papier, un crayon

Et je prends le temps d’écrire.

 

Ma façon de penser

De ressentir tout le désespoir

L’inquiétude de tous ces gens

Accrochez-vous! Accrochez-vous!

 

Un enfant noyé, emporté par les flots

Étendu sur une plage

Les yeux fermés

Ça nous prend

Ça nous prend droit au cœur.

 

Un enfant noyé, emporté par les flots

Étendu sur une plage

Les yeux fermés

Ça nous prend

Ça nous prend droit au cœur.

Paroles : Gilles Turcot

Comme un bohème

Quand je regarde au loin

Qu’j’entends siffler

À travers les champs

L’esprit tranquille, je respire et j’observe

Tout doucement, tout lentement.

 

Et j’imagine partir dans ce train

Vers un nowhere 

Sans but précis, sans règle, ni loi

Fébrile, je me sens bien

Y’a pas d’erreur.

 

Avoir envie de vivre comme un bohème

Même si c’est pas facile, d’être indépendant

De tout ce matériel artificiel

Savoir faire la différence

Entre le vrai et le faux

Heureusement, rien ne se ressemble

Dans les histoires d’amour

Faut pas s’en faire comme un bohème.

 

Il y a parfois, quelques fois

Quand je vois avec mes yeux

Et je feel avec mon cœur

Quand je redoute, je fonce dans l’inconnu

Sans avoir peur.

 

Ai-je vécu, ailleurs comme un gypsy

Quand je regarde avec mes yeux

Et je feel avec mon cœur

La confiance me convoque

Y’a pas d’erreur

Y’a pas d’erreur.

 

Avoir envie de vivre, comme un bohème

Même si c’est pas facile, d’être indépendant

De tout ce matériel artificiel

Savoir faire la différence

Entre le vrai et le faux

Heureusement, rien ne se ressemble

Dans les histoires d’amour

Faut pas s’en faire comme un bohème.

 

Partir, partir, partir vers un nowhere (bis)

Sans but précis

Sans règle, ni loi.

 

Comme un bohème!

Comme un bohème!

Comme un bohème!

Comme un bohème!

Paroles : Gilles Turcot

The game is over

Ça fait trop longtemps que ça dure

J’pus capable de continuer à faire semblant

J’ai pourtant bien essayé, je t’le jure, j’ai tout donné.

 

On ne s’embrasse plus, on ne baise même plus

À quoi ça sert de se faire des promesses

Que l’on ne tiendra pas

Il y a un malaise, il y a un marasme.

 

J’ai pris ma décision, j’ai besoin d’air

Faut que je fasse le bilan

J’arrive tout près de mes quarante ans

Je me connais, je ne suis plus heureux.

 

Excuse-moi, si je vous fais de la peine

À toi et aux enfants

On verra pour la maison

Et pour le reste, ce sera

Un jour à la fois.

 

Ho!

Parce que la game entre toi et moi est maintenant « over ».

Ho!

 

Je me suis loué une chambre dans un petit appart

Avec une coloc que je ne connais même pas

Juste le temps de me virer d’bord.

 

Les larmes qui tombent sur mes joues

Dans les soirées à vivre mes downs

À repenser à tout

Ce que l’on a vécu ensemble.

 

Mais il nous reste

Encore de belles années

Si on est chanceux, on pourra rencontrer

Une personne pour être bien, être amoureux.

 

De toute façon, il faut se parler pour les enfants

Si tu veux, on restera de bons amis

Il y a des souvenirs

Que l’on ne pourra jamais oublier.

 

Ho!

Parce que la game entre toi et moi est maintenant over.

Ho!

 

Parce que la game entre toi et moi est maintenant over.

Parce que la game entre toi et moi est maintenant over.

Parce que la game entre toi et moi est maintenant over.

Parce que la game entre toi et moi est maintenant over.

Paroles : Gilles Turcot

Délivrance

Pièce instrumentale

Musique : Gilles Turcot

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